ILLATS et les Illadais |
La Numérisation des Registres d'Etat Civil |
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de la commune d'ILLATS |
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Les Registres Virtuels |
Très
tôt sensibilisé à la préservation et
à la restauration du patrimoine communal, le conseil municipal
d'Illats a immédiatement souscrit à la proposition qui lui
a été faite de numériser les registres
d'état civil de la commune (voir le texte ci-après).
Cette entreprise de très longue haleine s'est achevée par l'installation d'un nouveau poste informatique dans les locaux de la mairie, poste dédié à la connexion au site Internet que vous consultez en ce moment, et à l'accès aux registres numérisés. Il est désormais possible de consulter la totalité des registres d'état civil pour la période de 1651 à 1902 sur un écran d'ordinateur, de tourner les pages, de "zoomer" (grossir le texte) pour mieux déchiffrer et même d'imprimer une page pour repartir avec la copie d'un acte. Désireux de faciliter le travail des chercheurs et généalogistes, la commune d'Illats leur propose également un fichier alphabétique de toutes les personnes concernées par un acte pendant cette période. Cela représente 2.858 patronymes et 74.151 personnes. Désormais, le personnel administratif de la mairie sera soulagé dans son travail par cette innovation. A notre connaissance, la commune d'Illats est la première en Gironde, et certainement très au-delà à s'être dotée de cet outil performant alliant la sauvegarde du patrimoine communal puisque les registres originaux ne seront plus manipulés et la modernité par l'utilisation des techniques numériques de pointe. Tiré de la page: http://perso.orange.fr/genrossi/DG_11.html (juin 2006)
PROJET DE NUMÉRISATION DES REGISTRES D'ETAT CIVIL Depuis quelques années, toutes les communes sont confrontées à une augmentation considérable du nombre de demandes de renseignements d’état civil, faisant suite à la vogue de la généalogie familiale. Cette mode, liée au besoin de "retrouver ses racines" est le signe d’une déshumanisation de la société, et n’est donc pas prête de disparaître. Si l’on peut se réjouir que nos concitoyens trouvent par ce moyen l’occasion de faire des rencontres, tisser des liens sociaux, et redécouvrir le patrimoine légué par les anciens, il est à redouter que l’afflux de chercheurs amateurs nuise à l’état et à la conservation des archives, sans compter le temps que les personnels administratifs doivent consacrer à ces nouveaux usagers. Jean-Michel Rossignol
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